Tout en continuant mes activités contées , je tente  une  aventure citoyenne et me présente aux élections communales dans ma petite commune de Watermael-Boitsfort. Non élu, cette parenthèse fut courte mais très intéressante.
 
En 2019, je conte encore et encore. Je commence une collaboration  avec une sophrologue, Nadège Albaret, pour des balades en forêt où se mèlent méditation, sophrologie et contes philosophiques.
 
En 2020, un méchant virus met le monde à l'arrêt. J'enregistre durant le confinement  20 capsules vidéo  "Histoires de Bruxelles " pour la télé BX1 diffusées dans l'émission " La Guinguette" et, surtout, j'en profite pour entamer l'écriture d'un roman. Le roman est au conte et à la nouvelle ce que le marathon est au cent mètres. Arrivée fin 2021 ?
 
Aujourd'hui de chapitre en chapitre, mon histoire continue à s'écrire... Toujours en autodidacte. Avec une curiosité et une passion intacte.
La série connaît une adaptation radio  pour Radio Vivacité ( RTBF)  pour l'émission " BXXL"
La saison suivante en 2017-2018, dans la même émission , Philippe et moi nous nous penchons spécifiquement sur le "Parler Bruxellois" avec une séquence intitulée "La Zwanze Académie".  Surprise, France 5 nous filme en studio pour son émission " L'échappée Belle" consacrée à Bruxelles.
La parenthèse Nic et Flup se termine fin 2018. Elle fut joyeuse mais d'autres aventures m'attendent.
Parallèlement en 2016-2017, je crée sur Youtube avec le conteur Philippe Baudot, une série web humoristique, avec deux personnages de sympathiques brusseleirs, intitulée "Nic et Flup te racontent Bruxelles" destinée à  faire découvrir  Bruxelles à travers  ses légendes, sa gastronomie,  son folklore, sa zwanze. 
En 2016, je remporte le Grand Prix du Jury pour le concours " Fais-moi un conte" pour lequel je  présente un de mes textes personnels, le conte érotico-fantastique " L'ange qui dort ". Le prix est offert par la Sabam.
 
A partir de 2016, je décide de transmettre mon expérience de conteur  en proposant pour le compte de l'Asbl Racontance des formations à l'Art du conte destinées aux débutants.
Novembre 2014. Je publie aux Editions Maelström reEvolution, dans la collection " Bruxelles se conte", trois contes fantastiques se déroulant à l'Hôtel de Ville de Bruxelles. Le livret est intitulé "Le Bal des décapités".
En savoir plus
Aout 2015. Devenu veuf, il me faut une année pour réorganiser ma vie. Je reprends aussi toute l'organisation administrative de l'asbl Racontance.
J' écris également des nouvelles.
 
2008. Ma nouvelle "Le jardin chinois" est récompensée par le prix Pierre Nothomb.
Lire la nouvelle.
 
La même année, je  découvre le monde du conte. Je m'y frotte et me pique au jeu.
J'entame une formation auprès du conteur Stéphane van Hoecke et anime les Contes d'Equinoxe et de Solstices au Théâtre du Méridien (aujourd'hui disparu) et à l'Espace Delvaux à Watermael-Boitsfort.
 
2009. Je fonde avec son épouse, Dominique Leruth , Thérèse Guyaux, Danièle  Dupont et d'autres conteurs, l'asbl Racontance, destinée à promouvoir l'Art du Conte en Belgique francophone.
 
2010. Mes activités de conteur se développent. J'anime, désormais, les Zapéro-contes, scène ouverte mensuelle aux conteurs professionnels et en devenir, à l'Estaminet historique "La Fleur en papier Doré " à Bruxelles et me produit régulièrement sur scène.
 
2012.  Je deviens membre de la Fédération de conteurs professionnels de Belgique.
Je rejoins l'Atelier Henri Gougaud, célèbre conteur et écrivain français, dont l’enseignement nourrit ma réflexion, ma recherche d’excellence dans l’art exigeant du conte.
 
Octobre 2013. Je cesse définitivement mes activités de journaliste télé.
 
Mais le besoin de raconter des histoires ne me quitte toujours pas. Je travaille notamment  à partir d'un synopsis personnel sur un projet de long-métrage avec le cinéaste et script doctor français Yves Lavandier (réalisateur du film " Oui mais" avec Emilie Dequenne).
Les producteurs ne nous suivent pas. Le projet est toujours dans mes tiroirs. Mais peut-être qu'un jour...
Je me spécialise dans le patrimoine bruxellois, puis  côtoie intensément le milieu culturel, me battant au quotidien pour que la culture ait la place qui lui revient dans l'info.
En tant que journaliste spécialisé dans les Arts de la scène, je reprend en 2003, suite au décès de la journaliste RTBF Bernadette Abraté,  l'organisation pratiques des "Prix du Théâtre", prix décernés par la Presse belge du spectacle.
Avril 1989. Je suis engagé comme journaliste à Télé Bruxelles, la télévision de la région bruxelloise.  Je me  donne alors trois ans pour augmenter mon bagage professionnel  et repartir ensuite vers d'autres projets.
Et j'y reste finalement 24 années...
Reportages, interviews, documentaires, présentations d'émissions, interventions en direct, j'y multiplie les activités télévisuelles.
La bande dessinée reste une passion. Me voici avec un nouvel objectif  l'écriture de scénarii BD. J'écris sous le pseudonyme de  Débéher pour le dessinateur Jean-Louis Dresselaer (Dress) plusieurs  séries différentes. A l'hiver 1988, le fanzine français "Sapristi !" publie trois planches de ma série "Les conjurés". Mais paradoxalement cette reconnaissance signe la fin de ma collaboration avec Dress. J'aimerais trouver un nouveau dessinateur mais une nouvelle aventure m'attend et m'empêche, à mon grand regret d'aller plus loin dans cette voie Voir des planches.
Au gré des rencontres dans ce milieu, je serai amené à écrire pour un jeune chanteur, Quentin,  les paroles d'une chanson " Dessinateur de nuit" sous mon pseudonyme. Elle sortira en 45t.  Bien que régulièrement diffusée en radio ce ne sera pas un tube, hélas.
Mon avenir semble désormais tracé.  Trop bien sans doute, ce qui m''amène  à participer à une aventure toute différente. Celle des radios libres dans les années 80. Je deviens animateur, sous le pseudonyme de Dominique Chevalier.
Je découvre que j'ai une voix et que celle-ci m' ouvre... une autre voie. Je travaille plusieurs années dans différentes radios, principalement pour Radio Contact, SIS, Radio Kiss.
Je découvre, jeune ado chez les scouts,  le plaisir d'être en scène  en reprenant des sketchs de l'humoriste Fernand Raynaud. Mais je reste désespérément nul dans l'apprentissage des noeuds.
 
A l'école, je  réalise aussi qu'il me manque  la bosse des maths et  le don inné des langues. Par contre, j'obtiens souvent de très bonnes notes en Français (littérature) et en Histoire avec un grand H.
 
Durant mes études secondaires, je développe mon goût de la scène grâce à la création d'un atelier théâtral au sein de mon établissement scolaire, l'Athénée Emile Bockstael.
Je commence par interpréter des textes d'Obaldia, d'Ionesco, d'Anouilh. Puis, très vite, je m'amuse à écrire mes propres pièces de théâtre.
 
Je suis désormais certain du chemin à suivre.  Je serai artiste. Comédien, scénariste ou réalisateur de film.
 
Mais refusé aux examens d'entrée de l' INSAS et de l'IAD, écoles de cinéma de Bruxelles, je me  retrouve finalement à l'ULB pour entamer des études de journalisme.
 
La théorie m'ennuie très vite, je préfère la pratique.  Je fais des "piges" pour le quotidien " La Dernière Heure-les Sports", quitte l'ULB, me forme au journalisme en autodidacte , signe de nombreux articles, obtient finalement un diplôme de l'Institut pour Journalistes de Belgique... pour faire plaisir à mon rédacteur en chef.
Mon  enfance est marquée par les westerns à la télévision, les aventures d'Ivanhoé, de Zorro, de Thierry la Fronde... en noir et blanc. Mais aussi par une passion dévorante pour la bande dessinée. Déjà l'envie aussi de raconter des histoires... Et pourquoi pas une vie d'artiste ?
 
15 juin 1957 : Naissance à Uccle (Bruxelles)
 
Je suis le fils unique de Guy Brynaert (Attaché commercial et conseiller communal à la Ville de Bruxelles durant une trentaine d'années) et de Suzanne Hipken  mère au foyer)
Mais aussi petit-fils de Fernand Brynaert , directeur d'une fabrique d'encre et de colle  (Etablissements Bouhon) et d'un autre grand-père, René Hipken, chapelier dans la rue Marie-Christine.
Ma famille vit alors à Laeken depuis cinq générations.
Il était une fois... Dominique Brynaert
 
Il ne devrait jamais avoir  de chemin tout tracé.
Sinon comment surprendre ceux qui nous  croisent  et surtout comment s'étonner soi-même ?
 
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